Brûler mes pupilles sur les rayons
acérés de la vie,
Écorcher mes doigts sur l'écume des
moments volés,
Saigner du nez face à l'effluve des
embruns voraces,
Crever le tissus fragile de mes
palpitations synchronisées,
Pour enfin, au petit déjeuner,
Manger Kronos, ce sable qui grince sous
la dent.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire