Solitude
et Chaos
ou
Comment
Chaos investit Solitude
Désert
où le vent souffle, Chaos gronde en silence
Lui qui partout
s'engouffre, taquine Solitude
Des tourbillons de sable,
il en a l'habitude
Seule
face à l'affable, son grand tourment commence :
La nymphe au cœur
aimable, perturbée dans sa
danse,
Trébuche et tombe à
terre entre deux amplitudes ;
Chaos
l'irresponsable a peint l'incertitude
Sous un ciel solitaire,
il répand sa semence.
Tranquille et recluse,
jusque là sans ennuis,
C'est de vive insouciance
que brillait son iris
Le
démon l'a gagnée, et emplie de ses vices
Le
démon fragmenté, au hasard il détruit
Et
perdue à jamais, l'immaculée figure
Pour
toujours envolée, sa belle chevelure.
Écrit les 30 et 31
octobre 2011.
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