(En raison du caractère choquant de ce poème, j'ai appliqué la censure sur certains mots au caractère trop cru. Il est tout de même possible, grâce aux sonorités des vers précédents, de retrouver les mots dont il était question. Et sinon, laissez faire votre imaginaire)
Au creux de mes bras nus tu regardais
le vide
Et je m'éveillais juste, les yeux dans
l'infini
Oui c'est bien toi que j'eus, quand
Morphée fut parti
Appelée ma Vénus, en mémoire
d'Ovide.
Loin de moi le désir de calme ou de
quiétude
Plutot refaire danser la flamme de ton
feu
Comme envie de gésir dans le grand
pot-au-feu
Pour laisser libre aller cette
vicissitude :
Avaler le mollusque de l'antre
fabuleuse
Ou des bulles y faire pour t'envoyer aux cieux
Moins que percer ta chair, étalon
capricieux
J'exulte dominer l'indomptable […] !
J'ai trop longtemps usé de la
parcimonie,
Viens donques me […], pudique
[Anonymie] !
Belle fougue exprimée dans ce sonnet... ;))
RépondreSupprimerJ'ai envie de dire... Si tu as des [...] tu remplaces les trois petits points!
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