Ma lumière vacille, s'essouffle à
réchauffer
La cruelle faucille ; Découvrir,
caresser
La morsure docile qui dans l'ombre est
tapie.
Que brille le feu noir du désir
échaudé
Mon esprit, un miroir : son corps à la
bougie
Est léché par les flammes, ses
pommettes rougies
Je parcoure une femme, l'entre-monts
épilé.
Retour à l'origine, goût de fleur
anisé
Toujours moi qui domine, elle est à ma merci
Sous la main virtuose, grain de beauté
sexy.
Sur ce piano grandiose la joie oralisée
Reçoit ma symphonie : le bassin se
soulève
Au nom de [Anonymie]. Mais ce n'était
qu'un rêve… (qui tombe dans l'oubli).
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