D'attiser le grand
feu de cet enfer étrange,
Provoquant Lucifer
qui maintenant se venge
Me coupe du monde
et m'emmène chez les morts ?
Vous m'avez
abandonné à mon triste sort,
Riant de mon
échec, inaccessibles Anges !
Figures célestes,
j'attends que l'on me mange
Et je tombe,
désincarné, plus bas encore.
L'édredon du
temps retient alors en son cœur,
Ma frêle
silhouette, ombre nue, en errance
Et me porte dans
un lieu qui mêle Silence,
Dépravation et
mort, désirs charnels ; Douleur !
Une vision,
laquelle, imposée à mes yeux,
M'arrache enfin un
cri, glacial et silencieux.
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