Dans la vapeur
tiède des effluves amères :
Les peaux douces
et sucrées, sont répandues à terre,
Corps roses
enlacés dans une marre de sang
Parmi tout ces
râles, mon corps s'en va cherchant
Le miroir de
vapeur au milieu de ces chairs
Consumées de
plaisir ; et moi, que puis-je y faire ?
Vil déchet
voyageant, j'erre tourbillonnant,
J'ai peine à
respirer, l'air est chaud, grave et lourd
Dans cette immense
pièce aux parois toutes rouges
Se trouvent des
gardiens menaçants de leur vouge.
Je suis le
prisonnier de ce monde sans jours
Révulsé par
l'horreur des sexes ensanglantés,
D'une extase
irréelle mon âme est entravée.
Oh j'adore, celui-là il est vraiment trop cool :)
RépondreSupprimer