16 février 2017

Vers Je et Tu, émue ? 1/

Je,
mue et
Tu,
émue ?
Lorsque le vers-je se déverse dans le vers-tu, on accède au vertige :
Le silence de l'orgue, asthme à tic-tac, tic-tac, tic-tac… C'est une électrique traque et le regard songe, polisson, à la ni… à l'anis étoilé. Ô rêt ! veille à la culb… À la c… couverture tricotée et rêve nue, trac du lever de faux rideaux qui se courbe, il en fit la con… et sans se retourner, le leva et vit un vœux − lut duvet en tout honneur − la main sûre, une bosse… sacrée came à soute rase et si près en plus ! La chevauchée jeunesse que l'on sait me raconte qu'unis vers cette intime idée les doigts mouillés la chatouillent et la main pas sage sous tes reins à moins que ce ne soit l'impasse à jeux souterrains. On les dit amants car à la fin de l'or gicle en destinée magiquement à la voie lactée. Il souhaite en feinte rencontrer… une ex… tazzé, il expire assis. On voit, l'étendue, l'actuelle nymphe de paille, et l'homme brave ; là les douze sœurs de l'abbé Z. J'eus rétréci.

Poêtre Miejiriel — février 2017

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