Monsieur A :
« L'homme n'a pas de vraies passions
Mais O moins, il peut donner son sang
Si le cœur lui en dit,
À tous les passants
À moins qu'il ne soit pas bon.
S'il est vicié ou si d'aventure un moustique l'a bu,
On l'interdit formellement. »
Monsieur B : « A bon ? »
Monsieur A : « Plus ou moins »
Monsieur B : « Et B ? »
Monsieur A : « Tout O plus il peut en recevoir un peu »
Monsieur B : « De l'eau ? »
Monsieur A : « Oui, c'est certain, de l'eau moins pure ; C'est du sang bleu. »
Monsieur B : « A B voilà ! Merci beaucoup, À plus tard monsieur ! »
Monsieur A :
« Quoi qu'il en soit,
Nous donnons notre sang
De quatre à six fois par ans
Dans ces établissements
Que l'on appelle « banques de sang ».
Voici l'ancienne version du poème :
Monsieur A : « L'homme n'a pas de vraies passions.
Mais O moins, il peut donner son sang
Si le cœur lui en dit,
À tous les passants
À moins qu'il ne soit pas bon.
S'il est vicié ou si d'aventure un moustique l'a bu,
On l'interdit formellement. »
Monsieur B : « A bon ? »
Monsieur A : « Plus ou moins »
Monsieur B : « Eh B ! »
Monsieur O : « Lui aussi »
Monsieur A : « Tout O plus il peut en recevoir un peu »
Monsieur B : « De l'eau ? »
Monsieur A : « Oui, c'est certain. »
Monsieur O : « L'eau moins pure, c'est du sang bleu. »
Monsieur AB : « Les amis, je vous cherchais »
Monsieur B : « A B vous voilà ! Accouplons-nous ! »
Monsieur A :
« Quoi qu'il en soit,
Nous donnons notre sang
De quatre à six fois par ans
Dans ces établissements
Que l'on appelle « banques de sang ».
Écrit en 2011, revu et corrigé en 2014, deux fois !
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