L’amoureux terne il
a subi un triste sort
Étant indésiré Qu’il retourne au
dehors
Au château là-bas loin derrière le bois qui dort !
Au château là-bas loin derrière le bois qui dort !
Liberté
aigre-douc’quand on ne la choisit
Est-c’que l’amour se paie d’autant de compromis ?
Ah ! que n’ai-je sur lui pas encore compris ?
Est-c’que l’amour se paie d’autant de compromis ?
Ah ! que n’ai-je sur lui pas encore compris ?
La nuit noire est
tombée je suis seul à présent
Évidemment chacun doit aller de l’avant
Après je fais au mieux même si par instants
Évidemment chacun doit aller de l’avant
Après je fais au mieux même si par instants
La
nuit cogne à mon cœur comme la fin du monde
Eh quoi ?! Que de doux pleurs à l’heure moribonde
Amers de soûls-venirs et douleurs pudibondes
Eh quoi ?! Que de doux pleurs à l’heure moribonde
Amers de soûls-venirs et douleurs pudibondes
Là
il faut s’en aller Adieu ! Les Aie ! de mon
départ
Entonnent les Adieux ! Les Ah ! me sont pétards
Atroces cris odieux sons d’adieux bâtards.
Entonnent les Adieux ! Les Ah ! me sont pétards
Atroces cris odieux sons d’adieux bâtards.
— Poêtre Miejiriel
d'après G. Apollinaire « Adieu ! »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire