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___________________VOLKAHN ?___/¯¯¯¯\___
˛˛˛˛˛˛˛˛˛˛˛˛˛Montagne
affamée ˇˇˇˇ cesse d’attendre !!!!!
˛˛˛˛˛˛Montagne
au
cœur de lavœ
&
en
fûsion
hypersensible
qui
sommeille ˇlˇłˇlˇ
sans
s’exprimer encor’
---ps---
correctement.
…….
¿Où
est ta force de cratère ?
¡Élève-toi !
’’’’’’’
Monte !
Mont’¯¯¯hargne
c’est un corps affirmé´´´´
vers le ciel
qui
n’a pas p’leur de l’ombre, noire, car il n’y a rien de rien
au sommet de son crâne ouvert aux vents ~ ~
les
oiseaux ˇ^° de la sagesse ˇ^`´ iront d’aile en plume ˇ^° haut
nid
d’airbrindilles
¨0¨
Montagne
c’est une ||
cathédrale
/\
d’instincts
||
à la base inébranlable −
di
basalto −
toute
grasse’’
à l’aube de sa dépollution. Je suis Montagne ```àllacrasse
de suie,°°¯°¯°°
dans
l’auge
où
se
réduisent
des cendres de minuit.
Je
m’essuie de
la face du monde désormais…
je
me lave ou
je me l’avoue.
Voyez
cette Montagne à la croûte de terril,’,’,’,
friable
jus’que
dans ses ans
− ses enrobés
de surface, jus’que
dans ses préjugés rebelles —
sur
tous sujets ; ils
seront concassés
là ´
où
le noirgueil s’amoncelle et
viendront se déverser dans l’eau O×°˚’
qui ruisselle. Cure
de je
|\/|ur’gens
— CAR
LÀ JE… Car
je la
deviens cette
Montagne [[[/sans croûte\]]] −
à
fleur de terreau – et
c’est tant mieux. Monticule ridé, retagne,
ridiceau
de la mane, :: petit châissif ::
C’est
Mon tas’gne
juchée d’un crâne, houle,
où
le piolet s’arc
et s’accroche
et fait fente en
roche,
fébrile ;
l’IRM brille l’influence
ouvrante de cet appel d’air –
fly
for thund’heurt :
fendre
sans fracture l’esprit de
pain grillé par fender
finira-t-il enfin par pénétrer le
son des «« en-bulles »»
« qu’on ne se
replie pas » ? ¡hix, sursot du bout-fondant sur
sceau de lave ! Rase Montagne
du crâne __ tu tombes à plat,__
en
ban–qui–se
__, qui s’efface
au
brisage
du _-glisse-brasse-_
au passage de _bris—bes_
mêh!
de
conversations à fond de calmes tran—quille…
… … \\_l’ap|port_du_mât|vire_//
multiplie
« l’un seul » sous
sa couche de
conforŧ˛une
−
mais
ta force
coton n’est
rien ici,,, et
déchire
la prison-miroir « {Mire
et ouah}!{Ris
aux
rimes} »
sur une solitude à mille voix. Le* dé-gê÷le
des
paroles au
flux *sang
s’eng*
gouffre
frisquet
sous
la calotte d’une
tête rOndƏ
et
ranime les ~flots~~~
de son esprĭt/˘˚
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