11 juin 2011

Air, Terre, Mer II/

Quand je pars pour Errer en Air,
Plus rien ne me retient ;
Glissant vers un autre univers,
Très léger et serein,
Où corps et pensées éphémères
Sont portés par le vent.
***
Enivré par le doux parfum
De tes beaux cheveux bruns
Et par ton sourire-lumière,
J'oublie où est la Terre,
Jusqu'à qui je suis et qu'y faire
L'espace d'un instant.

Parce qu'errer seul ou à deux m’enivre au plus haut point.

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