25 juin 2012

Fantasien !

Die Welt Phantasiens geht runter zu dem Ruin
Sie braucht einen echten Abenteurer
Da wird Atreju, der Auserwählte
Entschlossen bis zu seinem Ziel.

Er wird gegen das Nichts kämpfen
Um das Schloss, das Herz Phantasiens,
Und die kindliche Königin zu retten
Mit Hilfe Artaxs und des Felsenbeißers.

Weder die Angst noch der Wolf
Können ihn entmutigen oder besiegen
Denn er hat einen Glücksdrachen
Und dem Mutigen gehört die Welt !

Bastian, der Leser mit großer Fantasie
Empfand jeden spannenden Moment
Er begleitete Morla und das Mondenkind
Und ritt auf Fuchuch mit toller Harmonie.

Die bessere Entscheidung
Die Leute nie genommen hatten
War etwas "unendlich" zu nennen
Denn es gibt immer die Hoffnung
Bis zur Unende etwas zu verbessern
Und die Geschichte zu ändern.

Das Gedicht ist eine Ehrerbietung an "Die unendliche Geschichte".

- Felix Himmelbauer

Juni 2012

Polka Préhistorique


C'est une espiègle dessinatrice,
La force des Jedi elle maîtrise !
En faisant, avec son stylo-laser
Magie de dessins d'un autre univers.
En effet, qui a déjà vu sous notre ciel
Nestor le terrible, qui danse la polka ?
T-rex apparu dans un cri : BRRAAAAH !
Infiltré dans ma trousse, ce joyeux bordel.
N'est-il pas mignon le lézard gardien
Et ses dents taille-crayon qui ne coupent rien ?




Petit poème tout mignon, pour illustrer un petit dessin, lui-même répondant à ce qualificatif. Dessins de Clémentine.


25-06-2012

17 juin 2012

Cauchemar culturel

(Ceux qui n'ont jamais entendu les trucs que les "artistes" dont il est question dans ce pamphlet ont produit, veuillez bien ne pas chercher à vous renseigner vous y perdriez une quantité précieuse de votre temps et de votre matière grise. C'est la raison pour laquelle je ne mets pas de liens.)

Au milieu d'une scène, le Colonel Reyel
Fait du playback en selle sur un gros paquebot
Qu'il échangea la veille contre son char d'assaut.

(Et je n'écrirai pas, section avec un X
Pour vendre des CD à des maisons de disques*
Mauvais subliminal et bande d'obsédés !)

Puis des écervelés s'écriant « Quine ! » ou « Ken ! »
À tout va à tous vents, comme des énervés
Ce sont tous des Kévins adorant le Keen'V

Je n'oserai jamais, Mad'moiselle Valérie
Faire rimer ton nom avec orfèvrerie
Car tu ne vaux pas même, d'être à Secret Story !

Pourquoi l'alexandrin, pour parler de vermine ?
De ces racle-toilettes, bien plus mauvais en rime
Et en conjugaison que ce que je fais là ?

Écrire un bon poème, je ne le prétends pas
Mais au moins avec ça, ce n'est** pas vos oreilles
Ni vos précieux neurones qui pleurent et qui saignent.

Ils portent la culture, comme un manteau terni
En souillant ce pays de gerbe et de vomi
Et ils en sont la honte, cette pute à vernis !

(*À vous, mes chers rappeurs dyslexiques
**Oui oui, c'est une faute de français, mais pas la seule dans ce poème satirique)

9 juin 2012

Départ de feu…

Il y a dans ce regard l'élan d'une conquête
Il y a dans ce regard comme des traits de feu
Et puis sans crier gare, il jaillit de ses yeux
Le désir de savoir si de cette tempête
Il restera l'un d'eux…

Il y a dans ce regard, le charme qui fait d'elle
Il y a dans ce regard, ce poison vénéneux
Ce n'est pas un hasard s'il en tombe de peu
Elle doit le savoir : lui, il la trouve belle
À s'en brûler les yeux.


Insipiré par une personne réelle avec un tel regard...
Un dessin pour accompagner ? Peut-être plus tard.

5 juin 2012

Träume sind Schäume

Dans un rêve il était. Dans un rêve d'été. Au vent ses cheveux, à l'eau se jetait le peureux.
Il héla : « Au clai.. de la lune, m'en.. tu Pierrot, ouvre-moi ta porte, pour écrire un mot. » Jolie comptine ?
« - Il a la clef ? J'm'en tartine, moi !
- Non la clémentine. »

Regard des sons cachés. Il est baclé, le poème.

« - Elle est la clef ! Te dis-je.
- Elle est là ! » ... Mais la clé mentit, n’ouvrit pas la porte, ni n'entendit écrire ses maux et ses Jeremiades.

Il est seul, sans la clé… de mi.

Normalement, je ne dessine jamais parce que je ne sais pas faire…
mais comme j'avais gribouillé un truc en rapport avec ça bah… voilà.
Désolé pour cette agression visuelle.

4 juin 2012

L'amant

Il emplit tes nuits de concupiscence
Mais n'est pas ton homme au regard chassieux
C'est bien l'amant, le cocu de l'absence
Qui noie tes douleurs dans le bleu des cieux.

Pourquoi ne pas quitter le mari alcoolique
Qui puise dans ton corps jusqu'au moindre tribu
Et sème sa moisson avec des coups de trique,
Car sans aucun respect, violent sans avoir bu ?

Le premier a l'ardeur de l'amoureux
Mais celui-là depuis longtemps ne t'aime plus…
Il pense à ton bonheur : s'épanouir à deux
Et remplace peu à peu cet intrus.

2 juin 2012

Retour au pays...

Est-ce une illusion ou bien moi
Derrière la vitre du bus ?
Je crois y voir le terminus :
Et c'est la mort dans mon cœur coi.

Elle s'approche et je la vois
La grande main aux doigts tordus :
Celle qui presse tout le jus
Dans un drap rouge ; je suis sans voix.

Serait-ce la place de la Victoire
Qui me fait là broyer du noir,
Verser ma larme et m'étouffer
Comme un tout nouvel ingénu ?
Désorienté voire vaincu,
Par ce que l'on appelle "Heimweh".


Heimweh = Mot allemand signifiant "mal du pays"


Mai 2012