1 septembre 2016

Chæîne ou Montagne jamais ne plie ?

                                                                       ¡°°˘˘°°˘
                                                                      ¡¿
                                                                     /’’’\
___________________VOLKAHN ?___/¯¯¯¯\___
˛˛˛˛˛˛˛˛˛˛˛˛˛Montagne affamée ˇˇˇˇ cesse d’attendre !!!!!
˛˛˛˛˛˛Montagne au cœur de lavœ & en fûsion hypersensible qui sommeille ˇlˇłˇlˇ
sans s’exprimer encor’ ---ps--- correctement. ……. ¿Où est ta force de cratère ?
¡Élève-toi ! ’’’’’’’ Monte ! Mont’¯¯¯hargne c’est un corps affirmé´´´´ vers le ciel
qui n’a pas p’leur de l’ombre, noire, car il n’y a rien de rien au sommet de son crâne ouvert aux vents ~ ~
les oiseaux ˇ^° de la sagesse ˇ^`´ iront d’aile en plume ˇ^° haut nid d’airbrindilles ¨0¨
Montagne c’est une || cathédrale /\ d’instincts || à la base inébranlable di basalto toute grasse’’ à l’aube de sa dépollution. Je suis Montagne ```àllacrasse de suie,°°¯°¯°° dans l’auge se réduisent des cendres de minuit. Je m’essuie de la face du monde désormais… je me lave ou je me l’avoue. Voyez cette Montagne à la croûte de terril,’,’,’, friable jusque dans ses ans − ses enrobés de surface, jusque dans ses préjugés rebelles sur tous sujets ; ils seront concassés là ´ où le noirgueil s’amoncelle et viendront se déverser dans l’eau O×°˚’ qui ruisselle. Cure de je |\/|ur’gens — CAR LÀ JE… Car je la deviens cette Montagne [[[/sans croûte\]]] à fleur de terreau – et c’est tant mieux. Monticule ridé, retagne, ridiceau de la mane, :: petit châissif :: C’est Mon tas’gne juchée d’un crâne, houle, où le piolet s’arc et s’accroche et fait fente en roche, fébrile ; l’IRM brille l’influence ouvrante de cet appel d’air fly for thund’heurt : fendre sans fracture l’esprit de pain grillé par fender finira-t-il enfin par pénétrer le son des «« en-bulles »» « qu’on ne se replie pas » ? ¡hix, sursot du bout-fondant sur sceau de lave ! Rase Montagne du crâne __ tu tombes à plat,__ en banquise __, qui s’efface au brisage du _-glisse-brasse-_ au passage de _bris—bes_ mêh! de conversations à fond de calmes tran—quille… … … \\_l’ap|port_du_mât|vire_// multiplie « l’un seul » sous sa couche de conforŧ˛une − mais ta force coton n’est rien ici,,, et déchire la prison-miroir « {Mire et ouah}!{Ris aux rimes} » sur une solitude à mille voix. Le* dé-gê÷le des paroles au flux *sang s’eng* gouffre frisquet sous la calotte d’une tête rOndƏ et ranime les ~flots~~~ de son esprĭt/˘˚


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